Une fois semaine, à la fin du jour de silence dans bien des monastères, ou simplement à la fin de la première journée de la nouvelle semaine, je vous partage une petite réflexion, d’auteurs connus ou moins connus.
Ce soir : un poème de Jean Lavoué extrait de son livre: »La vie comme une caresse »
« Quand tu connais ton vide
Tu ne cherches plus rien pour le combler
Quand tu te sais boiteux
Ta marche se fait souveraine
Quand tu n’as plus de chemin
Tu t’avances au large
Sans craindre les tempêtes
Quand tu n’espère plus
S’ouvre en toi la voie
De tous les possibles.
Quand ta foi vacille
Tu te sens porté par les ailes du vent
Quand tu te sais perdu
Tu n’ignores plus ton lieu. »
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